Stéphane, au bord de l’étang, qu’il pleuve ou qu’il vente, scrute le bout de sa ligne. Immobile pendant des heures, les profanes imaginent que la patience est une qualité indispensable pour aimer tâter le goujon. Les éternels critiques estiment que c’est ennuyeux. Notre homme, lui, répond qu’il voit une partie de pêche comme une fête entre amis, sans les stroboscopes. Avec des sandwiches et de...
Le pêcheur hypersensible
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